Jean-Marc Sauvé
Né le 28 mai 1949 à Templeux-le-Guérard (Somme)
Cet homme est dangereux, il vient d’allumer la mèche longue qui mène à la guerre civile. Si la France s’en sort après une hécatombe dramatique, il faudra vous rappeler ce nom et ce visage.
Il dira, « je ne le voulais pas », il implorera un pathétique « je le l’ai pas fait exprès » d’une voix tremblante d’angoisses mais totalement exempte de regrets, de remords ou de tristesse pour les victimes, quand les tribunaux populaires issus du chaos qu’il vient de provoquer prononceront la sentence sur son cas.
Qui pourra croire que cet ancien élève de l’École nationale d’administration (promotion André Malraux 1975 – 1977), toute sa vie seulement préoccupé par l’avancée de sa carrière, était trop bête pour ne pas comprendre ce qu’il a réalisé en ce vendredi 26 aout 2016.
En détruisant les efforts d’apaisements que les maires des villes et villages côtiers de France avait pris avec les arrêtés sur le « burkini ».
Dans le meilleur des cas, les français, humiliés par la décision du Conseil d’Etat, résisterons à l’envie de faire eux même la justice puisque la loi ne si intéresse plus pour ne penser qu’aux élections, et profiteront justement de ces élections pour amener Marine Le Pen à l’Elysée. Les banlieues, manipulées par les socialistes aujourd’hui au pouvoir et les salafistes, leurs affidés (ou peut-être est-ce l’inverse) se déverseront dans les rues avec le deuxième tour de l’élection de 2002 comme modèle. Ce seront-ils rendu compte que les forces de l’ordre et une majorité de français ne se laisseront pas faire et sous le prétexte de sauver la démocratie auront tôt fait de franchir le « Rubicon » de la tolérance pour éradiquer ces « saletés à nettoyer au Karcher ».
Avec ce scénario cataclysmique, je ne fais que vous prédire le plus doux des paysages d’un futur proche, pour les autres, peut-être et malheureusement les plus probables je vous laisse les imaginer…