Quelques nouvelles de nos membres.

 Tout d’abord Joseph, notre tout premier membre abonné. En 2004, quand est sortie notre toute première revue bimestrielle, un marin s’est précipité pour être le membre abonné numéro 0001 . D’une fidélité indéfectible il a été le premier partenaire de la nouvelle formule sur la toile avec sa société de location charter « Géotis Sailing » Aujourd’hui, à la retraite, il a vendu ses bateaux, ne gardant qu’un magnifique « Sense » pour son plaisir de navigateur et s’est installé en Corse, sa terre familiale. Il a gardé également un magnifique appartement à Bastia directement sur le vieux port. Il le réserve aux amis et aux voyageurs exigeants. Si vous aimez vous sentir comme un marin prêt à lever l’ancre mais que votre douce compagne ne veut pas quitter le plancher des vaches (je suis sur que vous êtes nombreux à vous reconnaître), contactez Joseph de la part de l’association et vous passerez les plus belles vacances possibles. 

Jean, notre grand ami de la Martinique

Merci Jean ! Quinze livres  supplémentaire pour la bibliothèque associative « Voiles-Aventures » grâce à toi  (une centaine d’autres en préparations). Certain membres nous aident à enrichir notre inventaire, et nous les en remercions.  Le 1° mai nous pouvions compter 810 ouvrages divers en téléchargement. En fait la bibliothèque réservée aux seuls membres compte 189 publications, celle ouvertes à tous, 621  dont 149 articles techniques traitant exclusivement des navires et dérivés. 14 produits (payants ou gratuits) sont proposés par des membres de l’association, à travers notre « boutique ». Le terme boutique reste un peu anachronique pour qualifier l’activité que propose ce volet de l’association. En effet, fort peu de chose est à vendre et sur les 810 articles référencés dans notre catalogue, seul 18 sont payants, seulement pour les non membres, à un prix symbolique de 1 €  et 11 payant pour tout le monde.

Ariane et Jean-Philippe

Ariane et Jean-Philippe à bord de « Tuamitoo » sont presque prêts pour l’autre coté du canal. Après une terrible nuit d’orage au mouillage du rio « Dulce » au Guatemala qui a vu leur Bahia 46 attirer directement la foudre du ciel et détruire l’électricité, l’électronique, le dormant  et marbrer une partie de la coque avec des traces de sorties de l’électricité céleste dessinant de superbe « gorgones » blanche du plus funeste effet, ils ont travaillé plus d’un an pour que le bateau ne garde plus une trace de cette pénible péripétie.

Il ne reste plus que quelques détails à régler en métropole et Ariane nous régalera de ses récits de leurs prochaines étapes sur le Pacifique.